Ils construisent leur propre internet

Il permet d’avoir accès à l’éducation, à la santé, au travail… On l’utilise tellement qu’on l’oublie, mais tout le monde n’a pas accès à internet !

… et avec la pandémie, le besoin d’être connecté c’est encore plus fait sentir ! (entre le télétravail, les cours à distance, l’accès aux soins…)

Pour résoudre ces problèmes, différentes communautés, à divers endroits du monde, décident d’installer des antennes sur les toits les immeubles et des maisons pour propager internet, et faire de son accès un droit humain fondamental.

Permettre à tous les citoyens d’accéder à internet neutre dans les conditions les plus favorables, à un prix équitable, sans discrimination, que ce soit dans les zones urbaines ou rurales, voilà ce qu’elles font concrètement.

C’est tellement banal pour certains d’entre nous, on s’en sert tellement en permanence qu’on ne rend pas compte de la valeur d’internet. On serait presque tenté de dire que ne plus avoir internet ferait du bien.

Mais derrière internet se cache la possibilité de pouvoir s’informer comme on le veut, de pouvoir communiquer dans de bonnes conditions avec des personnes à l’étranger, pouvoir faire des tas de démarches administratives, ou de la vie quotidienne (trouver un appartement etc…).

Être privé d’internet a vraiment un impact négatif sur la vie des gens qui en sont privés.

Le savais-tu ?

La Federal Communications Commission estime à 19 millions le nombre d’Américain qui n’ont pas accès à un internet fiable aux État-Unis.

Les communautés qui installent des antennes

NYC Mesh

NYC Mesh est une association basée à New York et créer en 2012, elle a déjà installé plus de 1000 antennes dans tout New York !

L’association ne compte que des bénévoles à son bord. Il n’y a personne à pleins temps ou de personne payé. Elle donne accès à internet pour un prix libre, la personne donne ce qu’elle veut, mais le prix suggérer est entre 20 et 60$/mois

Tout le monde peut rejoindre NYC Mesh pour installer des antennes. Même les personnes qui n’ont pas de bagages techniques ! (c’est d’ailleurs le cas de beaucoup de volontaires)

NYC Mesh se rassemble tous les mois, c’est donc l’occasion pour les nouveaux de rentrer dans l’association. Il existe aussi un « Slack » (une messagerie en ligne pour les équipes) où les nouveaux et les personnes intéressées peuvent commencer à discuter pour voir comment elles peuvent être utiles.

L’association fonctionne à la confiance. Les nouveaux arrivants sont accompagnés par les anciens, qui leur apprennent à faire les installations et divers tâches, la confiance grandie, et petit à petit ils ont plus de libertés, pour au final faire eux-mêmes les installations.

Elle a même créé une licence qui permet d’encadrer la gouvernance d’un réseau communautaire, pour les personnes qui voudraient elles-mêmes créer un réseau dans leur ville.

Sarantaporo.gr

Sarantaporo est un village rural en Grèce et ce n’est pas rentable pour les entreprises de télécommunication de raccorder ce village à internet, à cause du fait qu’il est très isolé.

En 2010, un groupe local d’habitant a décidé de construire un réseau internet Mesh et en moins de 3 ans le réseau c’est étendu à 10 autres villages !

Les bénéfices constatés sont multiples !

Les docteurs qui font du domicile peuvent accéder à des services médicaux sur internet pendant leurs visites.

Les plus vieux peuvent rester en contact avec leurs enfants dans les villes ou à l’étranger.

Les éleveurs d’animaux et les agriculteurs améliorent leur quotidien. Par exemple, à la période des naissances, les éleveurs doivent être prêts 24h/24 si quelque chose se passe mal, internet leur permet d’installer des webcams avec lesquelles ils peuvent surveiller à distance leurs bêtes.

Les jeunes viennent et restent plus souvent dans les villages, et parfois ils y travaillent même, parce qu’il y a internet.

Guifi.net

Guifi.net est probablement le plus grand réseau Mesh du monde ! Il contient plus de 37 000 nœuds opérationnels, qui couvrent plus de 70 000 km, 100 000 personnes utilisent chaque jour le réseau !

Le projet a débuté en 2004 avec un groupe d’habitant, dans le petit village de Gurb, dans une zone rurale en périphérie de Barcelone, les opérateurs télécoms n’avaient pas d’intérêt économique à investir dans cette zone.

Aujourd’hui la majorité des nœuds se trouve en Catalogne et dans la région de Valence, en Espagne, mais le réseau s’agrandit vers d’autres parties du monde. Le réseau est financé par des donations.

Comment ça marche concrètement ?

Chaque réseau créé par ces associations a ses propres particularités, mais globalement voilà le fonctionnement.

Des antennes sont installées sur chaque toit et communiquent entre-elles, ce qui forme un réseau.

C’est ce qu’on appelle un « réseau Mesh »

Image : Vox

Ce réseau Mesh peut être connecté à internet, et permet donc à toutes les personnes qui sont connectées, d’accéder à internet.

Mais il peut aussi ne pas être connecté à internet et fonctionner uniquement localement. Les informations peuvent quand même être échangées localement sur le réseau. Tu peux voir ça comme un deuxième internet. Il est même possible de s’envoyer des messages, d’échanger des fichiers, et même de consulter des sites qui sont hébergés localement sur le réseau !

Et si tu te demandes « Est-ce que c’est rapide ? » Oui, plutôt !

Les vitesses peuvent atteindre quelque chose de pratiquement équivalent à la fibre.

Indépendant ? Oui et non !

Les réseaux Mesh connectés à internet ne sont pas totalement indépendants des opérateurs télécoms pour accéder à internet. Il faut bien se brancher à une source, détenu par un télécom, pour transmettre internet via les antennes. Elles ne font « que » propager internet, et c’est déjà beaucoup !

Par contre, quand le réseau fonctionne localement, sans internet, là il fonctionne en totale indépendance et n’a besoin que de lui-même pour marcher.

Pourquoi ?

Pas de motivation économique

Aux États-Unis les prix pour l’accès internet sont plus chers qu’en France. On est à plus de 62$/mois à l’échelle nationale et dans certains endroits comme Atlanta c’est encore plus cher, 100$/mois en moyenne.

Du coup, certaines personnes ne peuvent pas se payer un accès à internet.

Image: Lara Heintz

Les associations ne font rien payer ou alors elles demandent des donations aux personnes chez qui elles installent des antennes. C’est donc beaucoup plus accessible économiquement.

Les entreprises de télécommunication refusent souvent d’installer internet chez les personnes qui habitent dans des endroits reculés, parce que les travaux sont trop couteux, que ce n’est pas rentable…

Grâce au matériel qui est utilisé, des antennes Mesh, le raccordement de ces personnes à internet est beaucoup moins coûteux que la méthode traditionnelle des opérateurs et leur permet donc d’accéder à internet à moindre coût.

Résilient

Quelques mois avant l’Ouragan Sandy ne touche de plein fouet la partie Est des États-Unis et ne la coupe d’électricité et d’internet, le quartier de Red Hook à Brooklyn avait lancé une initiative : Red Hook WiFi.

Image : Inverse

Un réseau Mesh construit à l’initiative d’une association locale pour connecter une population, qui pour plus de 30% n’avait pas accès à internet à son domicile.

Et ce réseau, en partie alimenté grâce à des panneaux solaires, leur a été très utile !

Red Hook est resté connecté après le passage de l’Ouragan grâce à son réseau Mesh et le siège de l’association, Red Hook Initiative, est devenu endroit actif pour la coordination des bénévoles, la collecte des dons et la distribution de nourriture. Les habitants pouvaient aussi venir dans les bureaux de l’association pour recharger leurs appareils et se connecter à Internet.

Grâce à la particularité du réseau Mesh de pouvoir fonctionner sans internet, localement, ça le rend particulièrement utile lors de grosse coupure internet, par exemple lors d’une catastrophe naturelle.

Neutre

Certains fournisseurs d’accès à internet aux États-Unis ne sont pas neutres. C’est-à-dire qu’ils favorisent l’accès à certains sites, et en pénalisent d’autres.

Concrètement : certains fournisseurs d’accès à internet vont permettent d’accéder à pleine vitesse à Netflix, parce qu’ils auront signé un partenariat avec, mais brideront l’accès aux autres sites internet avec qui ils n’ont pas de partenariat.

NYC Mesh est neutre est ne favorise pas l’accès à certains sites plutôt qu’à d’autres. D’ailleurs, ils ne surveillent pas, ni ne collectent les données de leurs utilisateurs non plus.

Communautaire

Le tout donne quelque chose de très communautaire.

Tu rejoins une équipe de volontaire qui est composé d’habitants de la ville, on t’apprend à installer du matériel, tu rencontres de nouvelles personnes.

Ensuite, tu vas installer ce matériel chez des habitants de la ville, chez qui tu vas peut-être retourner de temps à autre pour faire des réglages sur les antennes. Certaines fois, des partenariats sont établies avec des petits commerces locaux pour installer des antennes sur le toit de leurs bâtiments.

Ces initiatives permettent de faire des rencontres, et de connaître les habitants de son quartier. Certaines associations proposent aussi des ateliers pour apprendre aux personnes nouvellement raccordées à utiliser internet. Red Hook WiFi propose une formation rémunérée aux jeunes adultes du quartier pour leur apprendre à maintenir le réseau, à coordonner des projets et des événements…

Image : Inverse

Et puis le fait que l’infrastructure internet soit construite et maintenue par les personnes qui l’utilisent, c’est pas du tout le même sentiment que si c’était une énorme entreprise télécoms qui s’en occupaient. Là, les gens savent que c’est à eux et pour leur bénéfice. C’est une réappropriation d’internet par les habitants. Ça crée une culture de collaboration et de partage.

Anecdote

L’internet de la rue à Cuba

En 2015, très peu de monde avaient accès à internet à Cuba, seulement 5% des 11 millions d’habitants ! Aujourd’hui, Internet est beaucoup plus répandu sur l’île, en 2020 63% des habitants de Cuba pouvaient se connecter à internet. L’accès se fait progressivement et jusque-là beaucoup de Cubains devait acheter une carte, avec leur carte d’identité, qui leur permettait de se connecter à un WiFi public (souvent situé dans les parcs) pendant un temps limité.

Pendant cette période un réseau Mesh, appelé « Street Net » ou « SNET » est devenu un véritable internet alternatif, connectant plus de 20 000 personnes. Il a été construit par des gamers qui voulaient jouer entre potes, sans avoir à déplacer à chaque fois leurs ordinateurs pour les connecter entre eux. Le réseau c’était étendu et était utilisé plus largement que pour le gaming, il y avait par exemple un site consacré au football, un clone de Facebook et de Leboncoin…

Le Facebook Cubain

L’installation du réseau c’est fait via la technologie Mesh, des grands câbles de 100m qui raccordait les maisons ont aussi étaient utilisés. Avec peu de moyen, ils ont réussi à construire un véritable réseau fonctionnel et vivant !

Avec l’arrivée de l’internet par les télécoms locaux, SNET est devenu illégale…

Les carnets d’Hitler

Un antiquaire allemand, Konrad Fischer, raconte avoir en sa possession des carnets intimes appartenant à Hitler.

Il en parle à Stern, un magazine allemand, qui décide de publier ces carnets.

En 1963, Stern, annonce publiquement avoir 62 carnets intimes d’Adolf Hitler. (suivi par ses partenaires à l’étranger, comme Paris Match en france)

Mais… d’où viennent ces carnets ?

le lien vers le podcast

Pasquinade

J’écoutais le podcast « Un Bon Moment avec Kyan KHOJANDI et NAVO » et plus particulièrement l’épisode avec Haroun, un humoriste dont j’avais vu le spectacle « Internet etc » qu’il avait mis en accès libre et au prix libre sur internet.

Et dans ce podcast, il présente le site internet qu’il a lancé « Pasquinade » qui est une sorte de YouTube ou de Netflix de l’humour, mais sans les algorithmes et avec un fort accent sur le soutient financier des humoristes.

Je te laisse avec la retranscription du passage, qui explique bien le projet je trouves :

Haroun : Le site propose d’accueillir des vidéos des humoristes qui ont…

ITW : Connu pas connu

Haroun : Connu, pas connu, qui ont un propos quand même. L’idée c’est quand même qu’il y est un angle, une façon de proposer quelque chose

ITW : Donc ya quand même un éditorialiste ? Tu fais un peu l’édito de ton… ?

Haroun : Bein j’essaye de regarder un peu c’qui s’fait. J’essaye de mettre de côté « est-ce que ça me fait rire ou pas rire ? », j’essaye plutôt de me dire « est-ce que la personne elle a des idées ? Et est-ce qu’on peut l’aider à faire valoir ses idées ou à s’exprimer quoi »

Haroun : Voilà, l’idée c’est qu’il y a pleins d’humoristes qui sont pas assez connus à mon goût, mais qui sont assez fort à mon goût, pour diffuser leurs contenus, ils ont pas les moyens de diffuser ce contenu-là sans passer par YouTube en essayant de monétiser, en mettant de la pub au début, à la fin, au milieu et pour ça il faut faire des milliers de vues et parfois t’es un peu perdu dans les algorithmes. Moi tout ce système commence à vraiment me fatiguer, le système des algorithmes, des réseaux sociaux etc.. donc j’ai voulu proposer quelque chose pour qu’ils puissent diffuser, soit au chapeau, soit en payant, soit comme ils veulent en fait, le site propose ça.

ITW : Donc du coup au chapeau ça veut dire, tu regarde le contenu…

Haroun : … et tu mets au chapeau si tu as envie d’encourager l’artiste.

ITW : Moi j’avais pensé à un concept, c’était de couper à la moitié.

Haroun : Ouais, alors il y a plein de choses qui sont envisagés et j’espère qu’on arrivera à faire pleins de façon de faire différente.

ITW : Donc si je comprends bien tu aides des jeunes humoristes et même des humoristes un peu plus confirmés à filmer leurs contenus, tu les mets sur le site, et ensuite ceux qui aime, par exemple je suis un humoriste, j’ai une communauté de 1000 personnes, je peux dire à mes 1000 personnes sur Instagram « j’ai fais ce sketch, si vous voulez me soutenir, vous allez sur pasquinade.fr et vous regardez mon contenu, vous kiffer, vous le partager si vous voulez, comme ça les gens y auront accès et en plus vous pouvez mettre au chapeau et soutenir directement.

Haroun : Ouais c’est ça.

Haroun : Avec le fait aussi qu’on mets le lien vers la billetterie, parce que l’idée c’est que quand même, j’part du principe que nous notre modèle économique d’humoriste c’est là scène. Et l’autre truc, c’est qu’un jeune humoriste, pas forcément jeune d’ailleurs, mais humoriste qui a besoin de ça, l’idée c’est qu’il mette ses vidéos au chapeau, que les gens fassent connaissance avec lui, pour qu’un jour quand il a envie de mettre son spectacle, il puisse mettre son spectacle en payant et que ça soit intéressant pour lui financièrement…

Haroun – … et que ça libère surtout une forme de pression, que, ya les gros humoristes qui peuvent avoir accès à Canal, Netflix, Amazon etc… et les autres qui ont accès juste à YouTube perdu dans les algorithmes, là il y a un espèce d’entre deux, un peu artisanale.

Haroun : – l’idée étant de s’émanciper de pleins de plateforme qui fixent leurs lois, ou des réseaux sociaux qui fixent leurs lois aussi avec leurs algorithmes etc…

ITW : Et tu communiques les chiffres ou pas du tous ? – Surtout les vues, les choses comme ça…

Haroun : À eux, oui.

ITW : Pas au public ?

Haroun : Non, pas au publique. Alors j’ai pas envie de communiquer au publique, j’ai pas envie de mettre de commentaire non plus… – parce que je trouves qu’on juge par le nombre de vues la qualité d’une vidéo sur les réseaux sociaux, ce qui m’agace aussi, parce qu’il y a des vidéos qui sont peu vues sur Pasquinade, mais avec des gens qui sont très volontaire pour donner au chapeau et donc le ratio est totalement différent d’une vidéo qui va faire beaucoup de vues…

ITW : … Où t’auras 100 vues, alors que sur YouTube tu gagnerai à peu prêt 12€, là tu peux gagner 100€ avec 30 vues quoi.

Haroun : Ya cet effet là ouais.

Haroun : – … ya des gens qui ont des publiques très engagés en fait, tu te rends compte qu’il y a des gens qui peuvent vivre avec un publique restreint, mais qui est tellement volontaire, qui as tellement envie de les défendre que ça peut très bien fonctionner, sans forcément faire des milliers de vues.

ITW : Et on peut pas créer une sorte de système d’abonnement aussi ? Par exemple, t’as un jeune humoriste que t’aimerai soutenir, tu dit, bah au lieu de te donner 1 fois… comme un un Tipeee, mais spécial Pasquinade, 3€ par mois, ou 10€ par mois, comme ça le gars il se crées…

Haroun : Ouai, bein l’idée c’est ça, par la suite, pour l’instant on n’en ait pas là parce qu’il y a pas assez de monde, mais l’idée c’est que tu suive certain humoristes. Donc, ya des gens que tu préfères et t’as envie de les suivre, et quand tu donne un certain montant ils te redonnent accès à leurs vidéos gratuitement.

Haroun : – … après on verra si c’est un abonnement ou pas, moi chui pas fan de l’abonnement, parce que j’ai l’impression qu’on en a trop, et qu’ils s’additionnent.

ITW : Oui, d’ailleurs plus honnête sur Tipeee c’est qu’il y en a qui ne se font payer qu’après la sortie d’une vidéo. Au lieu d’être payé tous les mois, mec je m’engage à la prochaine vidéo que tu sort à te donner tant. Ce qui donne une visibilité, parce qu’il fait qu’à la prochaine vidéo ya 1000 personnes qui ont déclarer en moyenne 3€ et c’est 3000€ qui vont arriver. Sur Tipee t’as cette option, soit pas mois, soit pas vidéo sortie.

Haroun : – … parce qu’il faut pas que t’es la pression, parce qu’il y a des gens qui t’ont donner un abonnement, il faut que tu soit en pression de sortir une vidéo.

C’est toujours intéressant de voir des initiatives sortir de terre pour proposer un autre modèle (qui me parait plus sain) que celui des grosses plateformes ! ☺️

Donc je voulais partager ça !

L’épisode est super intéressant, donc tu peux écouter son entièreté sur ton lecteur de podcast favoris en cherchant « Un Bon Moment avec Kyan KHOJANDI et NAVO » c’est l’épisode « avec HAROUN » du 14 Mars 2021

Comprendre le rap

Je sais que beaucoup de personnes ne comprennent pas le rap, mais sont ouvertes à essayer de le comprendre.

Et je sais que beaucoup de personnes aiment le rap et veulent mieux le comprendre.

Pour toutes ces personnes-là, il faut absolument regarder la chaîne YouTube Alohanews et plus particulièrement leur série « Punchlife »

En gros, le sens derrière les punchlines sont décortiqués.

Mention spéciale pour les vidéos « Punchlife de [insérer le nom] vues par la philosophie ». Exemple

Voir Punchlife

TIMELAPSE OF THE FUTURE

Un timelapse du futur de notre planète et de l’univers.

La science émet des hypothèses sur ce qui pourrait se produire dans les années à venir. Évidemment ce sont des hypothèses, et pour certaines, on ne sera jamais si elles sont vraies ou fausse…

Mais si on se tenait à ces hypothèses à quoi ressemblerait le futur ?

Une jolie vidéo superbement accompagnée en musique.

Voir la vidéo +